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La vie est née avec l'alternance naturelle du jour et de la nuit que l'ANPCEN encourage.
Consultez plusieurs fois notre site : couleurs et sons de la nature évoluent avec le cycle des heures !
Nous sommes le 19 mars 2024 et il est
. Aujourd'hui la nuit commence à 19:26 à Paris.
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  La nuit ?

 

 

 

La nuit, c'est la moitié de la vie. De nos vies...

Chaque jour, la vie est un cycle nourri autant par le jour que par la nuit. En une cinquantaine d’années, les humains ont bouleversé cette alternance naturelle du jour et de la nuit en développant de manière anarchique et disproportionnée l’éclairage artificiel extérieur. 

La quantité globale de lumière émise la nuit n'a pas cessé d'augmenter depuis quelques décennies : en France, + 94 % en vingt ans seulement et pour le seul éclairage public. Auquel il convient d'ajouter les lumières émises par les publicités, enseignes lumineuses, les façades, vitrines, bureaux non occupés, les parkings et sites privés, les illuminations diverses...

L’ANPCEN s'attache à expliquer et à prévenir l'ensemble des effets des éclairages extérieurs nocturnes non adaptés. Elle a adopté une approche globale et transversale afin d'éviter l'incohérence de certaines approches sectorielles, comme par exemple ne raisonner qu'en termes d'économies d'énergie en oubliant les effets sur la biodiversité ou les effets sur le sommeil et la santé. Ou n'aborder que les enjeux astronomiques ou que les enjeux de biodiversité, etc. Les approches segmentées, partielles, voire partiales, peuvent conduire à des décisions contreproductives et à des dépenses contradictoires. Notre association se donne donc pour objectif la convergence et la cohérence des solutions proposées pour améliorer la situation actuelle et limiter collectivement la quantité globale de lumière émise la nuit.

« La Vie a besoin de la Nuit, la Nuit a besoin de nous »

Découvrez dans les sous-rubriques suivantes la pluralité des enjeux de la pollution lumineuse dont la qualité de la nuit dépend, ainsi que l'action de l'ANPCEN sur les textes : lois, décrets, arrêtés, normes, stratégies...

 

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Dépenses publiques à maîtriser

Gains minimum : 25 à 50 % au minimum : le potentiel d’économies budgétaires peut varier de 25 à 50% au minimum et l'ANPCEN constate dans nombre de communes que les gains vont au-delàA l’heure où les pouvoirs publics demandent aux particuliers de maîtriser leurs dépenses en énergie et dans un contexte de rigueur de l’Etat français, l’éclairage public représente dans le budget des communes 37% de la facture d’électricité en métropole. Dans les Dom, il s'agit de la 1ère dépense d'électricité. 

X 3  : Aux coûts de fonctionnement doivent être ajoutés les coûts de maintenance et d’équipement des communes (rénovation et nouvelles installations). Cela conduit à un coût global de l’éclairage public correspondant à près du triple de la facture d’électricité liée à l’éclairage public, soit plusieurs milliards d'euros dépensés chaque année par les communes en France.

Surcoût : Enfin, lors des choix d'équipements nouveaux, le coût supplémentaire de nouvelles technologies comme les Leds doivent être inclus dans le calcul global des coûts, ainsi que l'endettement généré pour la commune, donc pour les citoyens. Il est important de noter que par exemple dans une même classe de lampe, entre une lampe à sodium haute pression et une lampe à leds, le coût peut changer de 32 ou 50 Euros à 1100 ou 1500 euros.

 

Anticiper l'augmentation continue du coût de l'énergie

Depuis fin 2009 et la loi NOME, afin de répondre aux exigences européennes, une nouvelle taxe s'applique à l'éclairage public qui tient compte des consommations finales d'électricité de chaque commune en éclairage extérieur. L'ensemble des débats relatifs à la transition énergétique indiquent que le coût de l'énergie, électricité comprise, s'inscrira durablement à la hausse.

+ 40 % : L'Ademe indique une augmentation de 18 % d'augmentation des tarifs d'électricité, abonnement inclus et jusqu'à + de 40 % pour l'électricité dédiée à l'éclairage public. (Etude publiée en 2014, sur données 2012)

+ 49 % Un rapport du Sénat en 2012 confirme : «Il faudra investir 400 milliards d’euros dans le secteur électrique en 20 ans». Le Sénat a relevé que :e prix TTC du MWh en France est l’un des moins chers de l’UE, mais, la France apparaît comme le pays de l’UE dont la facture d’électricité des ménages est la plus forte, deux fois plus que la moyenne européenne. Ceci serait imputable à l’importance du chauffage électrique en France, mais aussi à la croissance des usages spécifiques de l’électricité. Le président de la Commission de régulation de l’énergie indique également que le prix du kWh, facturé au client, devrait progresser de 49% entre 2011 et 2020.

Rappelons également, qu'un surcroît de consommation d'électricité conduit à l'importation d'électricité à certaines périodes et qu'ainsi le taux de carbone de l'énergie électrique en est sensiblement modifié.

 

Effort à mieux partager, plus de solidarités

11.5 millions de personnes, soit 20 % des Français, sont en situation de précarité en France, selon l'Observatoire national de la précarité énergétique, incluant 3.8 millions de ménages en France consacrant plus de 10 % de leur budget au paiement de factures relatives à leurs besoins en énergie. La précarité énergétique touche toutes les catégories de population. Aussi peut-on gaspiller impunément ainsi une énergie extérieure quand elle est si précieuse à l'intérieur ?

Toute économie budgétaire sur des dépenses inutiles peut être efficacement réallouée à des investissements environnementaux ou sociaux.

Et de nombreux maires témoignent directement auprès de l'ANPCEN faire intelligemment ainsi.

A partir de ces constats, retrouvez nos positions vers les décideurs : ici

 

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(1) Source : Enquête ADEME – SOFRES 2005

 

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