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La vie est née avec l'alternance naturelle du jour et de la nuit que l'ANPCEN encourage.
Consultez plusieurs fois notre site : couleurs et sons de la nature évoluent avec le cycle des heures !
Nous sommes le 23 mars 2023 et il est
. Aujourd'hui la nuit commence à 19:31 à Paris.
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  La nuit ?

 

 

 

La nuit, c'est la moitié de la vie. De nos vies...

Chaque jour, la vie est un cycle nourri autant par le jour que par la nuit. En une cinquantaine d’années, les humains ont bouleversé cette alternance naturelle du jour et de la nuit en développant de manière anarchique et disproportionnée l’éclairage artificiel extérieur. 

La quantité globale de lumière émise la nuit n'a pas cessé d'augmenter depuis quelques décennies : + 94 % en vingt ans seulement et pour le seul éclairage public. Auquel il convient d'ajouter les lumières émises par les publicités, enseignes lumineuses, les façades, vitrines, bureaux non occupés, les parkings et sites privés, les illuminations diverses...

L’ANPCEN s'attache à expliquer et à prévenir l'ensemble des effets des éclairages extérieurs nocturnes non adaptés. Elle a adopté une approche globale et transversale afin d'éviter l'incohérence de certaines approches sectorielles, comme par exemple ne raisonner qu'en termes d'économies d'énergie en oubliant les effets sur la biodiversité ou les effets sur le sommeil et la santé. Ce qui peut conduire à des décisions contreproductives. Notre association se donne donc pour objectif la convergence et la cohérence des solutions proposées pour améliorer la situation actuelle et limiter collectivement la quantité globale de lumière émise la nuit.

« La Vie a besoin de la Nuit, la Nuit a besoin de nous »

Découvrez dans les sous-rubriques suivantes la pluralité des enjeux de la pollution lumineuse dont la qualité de la nuit dépend, ainsi que l'action de l'ANPCEN sur les textes : lois, décrets, arrêtés, normes, stratégies...

 

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Rendez-vous : Peindre la nuit, au Centre Pompidou Metz

Le Centre Pompidou Metz consacre une exposition au thème de la nuit "Peindre la nuit". Depuis longtemps, nous soutenons que la nuit est une source d'inspiration et qu'elle constitue un patrimoine en tant que tel... à préserver pour tous.

A découvrir jusqu'au 15 avril 2019.

"La nuit se retrouve au cœur de débats actuels, qu’ils soient sociétaux (faut-il ouvrir les magasins la nuit ou la consacrer au sommeil ?), écologiques (comment limiter la pollution lumineuse qui nous empêche de voir les étoiles ou qui dérègle la vie animale ?), politiques (nuit debout, traversées clandestines de frontières) ou scientifiques (on repousse sans cesse notre connaissance de la nuit).

Ce monde de la nuit, avec tous ses questionnements, est omniprésent chez les artistes, notamment depuis la fin du XIXe siècle. La nuit a évolué et nous a transformés, à travers des révolutions majeures comme l’électrification et l’éclairage, la psychanalyse ou la conquête spatiale : autant de bouleversements dans la définition et le rapport que l’on entretient avec la nuit.

Du 13 octobre 2018 au 15 avril 2019, le Centre Pompidou-Metz consacre une exposition de grande ampleur au thème de la nuit dans la peinture moderne et contemporaine, accompagnée d’une publication et d’une riche programmation d’événements associés. 

Source d’inspiration majeure de l’histoire de l’art, la nuit demeure aujourd’hui encore un terrain d’expériences fécond. Revenir à un sujet aussi vaste que la nuit permet de poser des questions essentielles sur notre condition et notre place dans l’univers, comme sur le rôle de l’art. 

Si la proposition peut paraître d’emblée comme une contradiction, « peindre la nuit » se révèle au contraire riche de sens. Le titre contient volontairement une ambiguïté : peindre la nuit signifie soit représenter la nuit, soit peindre de nuit. Peindre l’obscurité ou peindre dans l’obscurité, c’est déjà faire un choix, celui d’affiner sa vision extérieure ou bien celui de l’abandonner. La nuit permet, tant sur le plan physique que symbolique, ce « détachement du monde » si cher à la modernité. Le moment du crépuscule pourrait d’ailleurs être la parfaite métaphore de la volatile frontière entre figuration et abstraction. 

À travers une approche liée à la perception de la nuit plutôt qu’à son iconographie, l’exposition se présente elle-même comme une expérience nocturne, une déambulation qui transforme le visiteur en noctambule, et qui transmet ce vertige que procure la nuit : vertige des sens, vertige intérieur, vertige cosmique. On avance dans l’exposition comme on avance dans la nuit.

 Fidèle à l’esprit des expositions du Centre Pompidou-Metz, l’exposition ne se limite pas de manière exclusive à la peinture, bien que centrale, mais offre résonances et parallèles avec la musique la littérature, la vidéo et la photographie. 

Elle rassemble une centaine d’artistes, de figures historiques (Winslow Homer, Francis Bacon, Anna-Eva Bergman, Louise Bourgeois, Brassaï, Helen Frankenthaler, Paul Klee, Lee Krasner, Henri Michaux, Joan Mitchell, Amédée Ozenfant, etc.) et d’artistes contemporains (Etel Adnan, Charbel-joseph H. Boutros, Ann Craven, Peter Doig, Jennifer Douzenel, Rodney Graham, Martin Kippenberger, Paul Kneale, Olaf Nicolai, Gerhard Richter, etc.) ainsi que de spectaculaires installations dont certaines sont conçues spécialement pour ce projet (Harold Ancart, Raphaël Dallaporta, Spencer Finch, Daisuke Yokota, Navid Nuur, etc.)."

Centre Pompidou Metz - Commissaire d'exposition : Jean Marie Gallais


A lire dans Libération : "Pluie de toiles dans la nuit", par Judicaël Lavrador

"Représenter le monde nocturne ou profiter de l’obscurité pour exercer son art : tel est le ressort de l’exposition «Peindre la nuit» au centre Pompidou-Metz. Un thème majeur au début du XXe siècle, en rupture avec la figuration et annonciateur de l’abstraction."


A voir par France 3 Lorraine


Le Républicain Lorrain : Et vous, comment regardez-vous la nuit ?

Trinh Xuan Thuan, astrophysicien : "Je la regarde depuis un observatoire, toujours dans les montagnes. Une fois que le soleil se couche, on voit les premières planètes, les premières étoiles. À l’œil nu, on voit 3 000 étoiles. Avec le télescope, on voit beaucoup plus loin.

Malheureusement, dans beaucoup de villes comme Paris, on voit à peine une dizaine d’étoiles tant il y a de pollution lumineuse.

Aujourd’hui, apprécier les étoiles est réservé à des privilégiés dans les observatoires."



                

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